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Les vacances des personnes à mobilité réduite en France :
Entre aspirations et discriminations
Par Philippe CONSOLINO
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Dans une enquête récente1 J.-F. Amadieu employant la méthode du « testing » sur des
CV différenciés en fonction des variables classiques de la discrimination a montré que le CV
portant la mention « handicap selon la COTOREP » recevait 15 fois moins de réponses
positives que le CV de référence à des demandes d’emplois commerciaux de niveau BTS.
Parlant « d’une discrimination d’une ampleur insoupçonnée en dépit des dispositifs légaux »,
l’auteur confirmait sur des bases empiriques limitées mais selon une méthode novatrice, ce
que des enquêtes plus lourdes – l’enquête HID de 1999, le volet population handicapée de
l’enquête – emploi depuis 2003 ou encore le bilan de l’Allocation Adulte Handicapé (AHH)
avant la réforme réalisé par la DRESS1 – avaient déjà constaté : l’existence de fortes
discriminations des personnes handicapées par rapport à l’emploi.
Cette situation ne manque pas d’interroger sur la manière dont les discriminations
continuent d’être produites en dépit d’un dispositif législatif considérable3. Il ne faudrait pas
cependant méconnaître la complexité tant de la mesure du phénomène que de
l’identification du processus menant à sa production.
En effet, en matière de mesure du phénomène, les données varient en fonction de la
prise en compte des seules déficiences déclarées par les personnes ou selon qu’on considère
les individus dont la situation de handicap a fait l’objet d’une reconnaissance administrative.
La question s’opacifie encore quand on constate le « glissement » d’un certain nombre de
titulaires du RMI vers l’AHH.
Quant aux formes prises par la production de ces discriminations et à leur dynamique,
une perspective systémique et complexe semble nécessaire pour tenter d’en rendre compte.
D’abord parce que comme les intéractionnistes l’ont montré, le « handicap » est une
construction sociale qui passent par les interactions entre les personnes « handicapées » et
leur univers socio-institutionnel. Ensuite, parce que les perceptions, les représentations et les
actions relatives au « handicap » co-évoluent de manière a priori non-linéaire. Entre
perceptions subjectives et catégorisations administratives, entre vécu intime et
reconnaissance sociale, l’étude de la question du handicap requiert donc, de notre point de
vue, à la fois une investigation associant techniques qualitatives et quantitatives et une
approche théorique d’inspiration systémique complexe.
Parmi l’ensemble des discriminations « systémiques » dont souffrent les personnes
« handicapées », il en est une qui demeure peu connue : celle qui a trait aux domaines des
loisirs et, particulièrement, celui des vacances et du tourisme. Or, c’est de plus en plus par des
activités de ce type que les individus recherchent un épanouissement personnel. Voyager,
sortir de chez soi pour découvrir le monde et les autres, représentent aujourd’hui des
aspirations si largement partagées qu’on a pu parler de « droit ». De ce point de vue, les
discriminations dont font l’objet les personnes « handicapées » dans leur volonté d’accéder à
la « civilisation des loisirs » par une consommation touristique effective constitue un critère
tout à fait significatif de leur réelle intégration à la société.
1AMADIEU J-F., Discrimination à l’embauche -de l’envoi du CV à l’entretien- Observatoire des Discriminations (CERGORS) en
collaboration avec Adia et Envoyé Spécial, université Paris I, Panthéon Sorbonne, avril 2005. Diffusion 14 avril 2005, France 2 « Envoyé
spécial », reportage de Vincent Nguyen et Mathieu Birden.
1 « Les revenus sociaux en 2003 », Dossiers Solidarité et Santé, n°4 , octobre-décembre 2004, pp. 92-108
3 Didier-Courbin Ph., Guilbert P., « Eléments d’information sur la législation en faveur des personnes handicapées en France : de la loi de
1975 à celle de 2005 », Revue française des affaires sociales, n°2, 2005.
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Le travail qui reste en suspend est donc d’identifier, de mesurer et de modéliser les
discriminations « systémiques » qui affectent les personnes handicapées dans leur accès aux
vacances et au tourisme et ce en dépit des politiques publiques promouvant cet accès. A
travers l’étude spécifique de ce comportement nous souhaiterions en saisir les principaux
facteurs individuels et collectifs, examiner la manière dont ils s’articulent et éventuellement se
cumulent. Mais le travail statistique à mobiliser devrait déboucher sur une typologie des
situations autorisant ensuite une investigation qualitative ciblée. L’objectif final consisterait à
construire une modélisation intégrant la caractérisation objectivante des situations d’accès
aux vacances des personnes « handicapées », la manière dont elles sont perçues,
représentées et vécues par ces personnes mais aussi l’action en la matière des acteurs
publics et privés du tourisme. A travers ce dernier point, il serait possible d’étudier
concrètement l’élaboration et la mise en oeuvre de politiques ou d’actions de lutte contre les
discriminations et notamment de la capacité des associations à faire évoluer les choses.
Cadrage général de la question : ampleur, actualité et justification
Comme on le sait, on ne peut pas répondre à la question du nombre de personnes
« handicapées » sans avoir défini au préalable là où commence le handicap. Tant
l’Organisation Mondiale de la Santé au plan internationale que l’Insee sur le plan national
s’accordent pour évaluer la part des personnes « handicapées » à environ 10 % de la
population (5,8 millions en France). On sait de plus que dans les sociétés développées le
phénomène va croissant pour des raisons aujourd’hui assez bien identifiées2 Mais le terme de
« handicap » regroupe des types de « déficiences, incapacités et désavantages » d’origines
mentales et physiques. Dans cette dernière catégorie, on peut dissocier le handicap moteur
(difficulté de déplacement) et le handicap sensoriel (cécité, surdité). Notre étude se limitera
à la satisfaction des besoins des personnes à mobilité réduite (P.M.R.), celles qui sont
touchées par le handicap moteur car, d’une part, elles représentent la part la plus
importante de la population handicapée (3,5 millions en France), d’autre part elles
demandent des mesures techniques et humaines moins complexes que pour le handicap
mental ou sensoriel.
L’actualité de la question : évolution de la législation et rôle des associations
Dans le cadre d’une sensibilité plus forte des sociétés occidentales aux « différences » et
devant la mobilisation relatives des handicapés et de leurs associations, la question du
handicap a progressé sur l’agenda politique et a émergé plus clairement dans la conscience
sociale. Le fait que le handicap n’apparaisse plus seulement comme le propre d’une minorité
mais comme une situation à laquelle quiconque peut être confronté à un moment donné de
son existence participe aussi de cette prise de conscience.
Si le Président de la République a pu placer la question du handicap au rang des
priorités nationales de son second mandat, c’est que, près de trois décennies après la loi de
1975, « l’intégration » des personnes handicapées restait à réaliser. La création par la loi du 30
décembre 2004 de la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité
(HALDE) et l’ouverture de son champ de compétence au traitement du handicap le
confirmait. Cependant les moyens mis au service de l’« intégration3» évoluent avec la
définition même de cette dernière. Ainsi, après le droit à réparation, puis le droit à la
rééducation, le principe de non discrimination se substitue à celui de réadaptation. Et,
aujourd’hui, le droit à compensation des conséquences des handicaps devient l’expression
2 la diminution importante de la mortalité infantile, l’augmentation de l’espérance de vie, les progrès de la médecine sur les lésions
organiques, les conditions de vie urbaines, les transports, les loisirs et le travail.
3 Le concept d’intégration sera défini ici comme l’opération par laquelle un individu ou une communauté s’incorpore, par un ensemble de
compromis, à une collectivité, à un milieu, à un système, en vue d’un enrichissement mutuel, sans discrimination, sans ségrégation sociale,
politique ou raciale et en respectant les différences de chacun des acteurs.
de l’égalité de droit pour le plein exercice de la citoyenneté. Il constitue l’innovation
principale de la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation
et la citoyenneté des personnes handicapées.
Mais cette législation reflète aussi l’activisme et la capacité de pression des associations
représentant les personnes handicapées notamment par des actions de sensibilisation de la
population aux difficultés liées à l’accessibilité, l’interpellation des représentants politiques, des
actions spectaculaires dites « coups de poing ». Cet univers associatif lié au handicap
nécessite une sociographie fine pour en saisir la structuration et la capacité d’influence sur les
pouvoirs publics. Dans le domaine de la prise charge et de l’éducation spécialisée, de
grandes structures associatives telle que l’Association pour les Adultes et Jeunes Handicapés
(AAJH)4 que gèrent beaucoup d’argent public et emploient un personnel nombreux.
Partenaires plus ou moins obligés des autorités publiques, elles sont de fait renforcées par le
processus de « privatisation » assez largement en oeuvre dans les pays occidentaux Mais,
d’autres types d’associations existent et agissent pour la prise en compte des besoins des
personnes handicapées dans les différents domaines de la vie quotidienne comme
l’Association des Paralysés de France5 (APF) ou le Groupement d’Insertion des Handicapés
Physiques (GIHP)6. Ces associations représentent les interlocuteurs principaux des pouvoirs
publics nationaux pour les questions relatives au handicap, (Ministères, Sécurité sociale,
commissions spécialisées) et commencent à se structurer au niveau européen. Notre étude
sur l’accès aux vacances des PMR en France nous a permis d’explorer, de manière
comparée, le rôle des associations et leur répertoire d’action auprès des acteurs publics et
privés dans le domaine du tourisme.
Le secteur touristique : un cadre pertinent pour l’étude des discriminations
On l’a dit, l’accès aux vacances et au tourisme constitue, de notre point de vue, un
indicateur pertinent pour évaluer les discriminations « systémiques » qui pèsent sur les PMR.
Mais il faut ajouter que, de manière très concrète, des enjeux économiques considérables
existent autour de cette question. En effet, le secteur du tourisme est l’un des plus actifs dans
les sociétés contemporaines et toutes les études prospectives montrent que la tendance est
à l’amplification de ce développement. En France, nombreuses sont les régions qui
dépendent directement de cette activité. Ouvrir plus largement aux millions de PMR l’accès
au tourisme est donc, outre son aspect éthique, une opportunité économique et
commerciale. En effet, Il est urgent de mieux saisir le problème afin de sensibiliser les acteurs
du tourisme et de leur proposer des mesures de valorisation de ce marché potentiel
important (estimé à 300 millions de nuitées supplémentaires pour les hébergeurs et 130
millions d’excursions pour les Offices de Tourisme). C’est la raison pour laquelle nous
proposerons aux collectivités publiques mais aussi aux décideurs privés en charge du
tourisme en France nos compétences afin d’arriver à une mise en tourisme optimale pour
tous.
Dans le tourisme comme plus généralement dans la cité, la question de l’accessibilité
demeure prégnante pour les PMR. La législation a connu en la matière deux évolutions
principales avec d’une part, la loi de juillet 1991 portant diverses mesures destinées à favoriser
l’accessibilité aux personnes handicapées des locaux d’habitation, des lieux de travail et des
équipements public et, d’autre part, la loi déjà citée du 11 février 2005. Dans cette dernière,
l’un des axes vise à « promouvoir une participation effective et entière des personnes
handicapées à la vie sociale grâce à l’organisation de la cité autour du principe
d’accessibilité généralisée, qu’il s’agisse de l’accès à l’école, à l’emploi, aux loisirs, aux
transports ou tout simplement au cadre bâti ». Qu’en est-il concernant le tourisme ?
4 L’AAJH regroupe 87 associations départementales et 550 établissements ou services sur l’ensemble du territoire français. Elle s’occupe de
23 840 personnes accueillies ou accompagnées et emploie13 850 salariés avec 468 millions d’euros de budget consolidé.
5 L’APF déclare 31 800 adhérents répartis dans 97 délégations départementales.
6 Le GIHP réunit plus de 4000 adhérents dans 25 associations régionales ou départementales.
Le rapport Tourisme et handicap de 1999 le disait explicitement : « si certaines
communes sont familières de la clientèle handicapée pour des raisons diverses comme Berck
ou Lourdes, dans l’ensemble la préoccupation de l’accueil des touristes handicapés est
inexistante 7». Ce que confirment les organismes chargés de la promotion de l’offre touristique
qui avouent ne pas bien connaître l’offre proposée à la population handicapée
reconnaissant ainsi une méconnaissance presque totale de ses besoins spécifiques. Il s’agit
d’un constat qui témoigne de l’existence de discriminations de fait à l’égard des handicapés
dans ce secteur d’activité. Ces dernières demeurent mal connues, or les connaître mieux
dans leurs manifestations et leurs déterminants constitue une condition nécessaire à toute
politique d’égalité en la matière.
Si la littérature sur le thème du handicap est relativement abondante, nous pensons qu’il
manque encore, à quelques exceptions près8, des modélisations plus générales, fondées
empiriquement, permettant d’articuler les facteurs de discrimination entre eux, de relier le
plan des perceptions et des représentations et celui de l’action, de penser la récursivité entre
dispositions législatives et réglementaires d’une part, et comportements et pratiques d’autres
part. Ce diagnostic qui peut s’appliquer à d’autres champs de la recherche en sciences
sociales, s’explique, de notre point de vue, par les cloisonnements disciplinaires et une
insuffisance de la prise en compte de la nature systémique des processus sociaux. C’est la
raison pour laquelle nous mobilisons parmi nos références théoriques, les apports de la
systémique complexe dont les bases ont été posées depuis déjà longtemps (Barel, 1977,
Morin, 1977-2004; Le Moigne, 1977 et 1990, Simon, 1991 notamment). En termes
méthodologiques, l’approche dite « systèmes complexes » pourrait à terme, dans ce
domaine comme dans d’autres, constituer une ressource importante dans la mesure où elle
autorise des croisements féconds entre les sciences sociales et des techniques plus
formalisées issues pour l’essentiel de l’informatique (modèles multi-agents par exemple). Ces
références ne sont en aucun cas exclusives. Ainsi la l’étude des représentations du handicap
par la psychologie sociale (Ville, Ravaud, 2003, Bazier et Mercier, 2003; Beauvois et alii, 1987
par exemple) constitue un corpus riche et mobilisable. La thématique de la construction
sociale du handicap développée tant dans la sociologie anglophone que francophone, à
partir du des traditions constructiviste de Beger et Luckmann (1966) et surtout interactionniste
de Goffman (1975) est mobilisée tout comme les études sur les mobilisations des populations
marginalisées (RFAS, n°2, 2002, Mc Adam et alii , 1996 par exemple) et leur impact sur les
politiques publiques.
*
Pour résumer les lignes précédentes, nous dirons que l’invisible, ou l’impensé de ce champ du
handicap – désormais existant par des lois -cadre comme celles de 1975, de 1987 et de 2005
– est l’exorcisme de la terreur que provoquent la déviation, la déformation, l’amputation de la
vie, de notre « bios ». Exorcisme par une société qui fuit la finitude humaine en produisant,
consommant, courant après l’exploit, exaltant la toute puissance, la jeunesse, la vitesse alors
qu’elle se sent affrontée au poids de l’âge, à la limite économique, aux risques d’épuisement.
Les personnes « handicapées » sont le rappel de la finitude mais il ne faut pas que cela parle
trop fort.
Faut-il nous refuser à faire des propositions ? Avouons que l’analyse qui précède n’y prépare
guère. Elle n’y prépare guère d’abord parce qu’elle révèle le poids des systèmes de
pensées, des mentalités et de l’imaginaire collectif. Comment, dans ces conditions, penser
que des suggestions d’action ou d’organisation pourraient avoir quelque effet ? Le discours
que nous tiendrons sera, on l’a compris celui de la différence. Affrontées constamment à ce
phénomène, les sociétés n’ont jamais réussi à intégrer la différence en tant que telle. Ou bien
le groupe social l’intègre pour la faire disparaître, ou bien il l’exclut assez radicalement tout
7 MAIRE Edmond, GAGNEUX Michel, Tourisme et handicap : l’offre touristique, Paris; Conseil national du tourisme;1999; p. 3.
8 Notamment les travaux de J.-F. Ravaud.
en se donnant une certaine représentation de l’intégration. On ne peut pas prendre une des
formules que l’histoire a choisies, à un moment, pour l’élever à l’idéal. Chaque manière, dans
son contexte, a eu ses avantages et ses répressions. Aujourd’hui la volonté d’assimiler, de
banaliser par un encadrement et un traitement intense ne peut pas se récuser. Mais par
ailleurs, nous discernons dans cette volonté le danger de « faire croire », de faire semblant,
de faire « comme si », même au prix de moyens financiers et techniques impressionnants.
Alors il me semble qu’il faudrait essayer de penser une intégration de la différence.
Peut-être pourrait-on essayer de nous convaincre, sur le plan pratique, que cela est
en route. Nous ramenons la différence à la norme. Ou du moins nous tentons de le faire.
Cessons de considérer le valide et l’infirme comme une normalité et une déviance et ne les
posons pas davantage comme deux « genres » séparés. Essayons à partir de là d’envisager
une nouvelle variation sociologique. On ne demandera pas à un « handicapé » de
ressembler à un valide. On ne posera pas un handicapé comme handicapé « en soi », plus
ou moins en dessous de la normale. Comme le vis-à-vis homme/femme, le rapport bien
portant/diminué sera toujours traité relativement, dynamiquement, différemment. Voilà une
direction de pensée et au plan de l’action, cette perspective ne pourrait-elle pas avoir des
conséquences considérables ?
Notre dernière suggestion serait celle d’un mouvement d’opinion et de proposition
constitué par les personnes concernées dans leur chair et leurs esprits – les pouvoirs publics et
privés, les responsables d’associations, les personnes à mobilité réduite, les professionnels du
tourisme, de l’emploi, de la santé, mais aussi les familles, etc.-, largement soutenu par les
instances publiques acceptant de financer un « grand laboratoire » chargé de reprendre les
questions à leur degré zéro.
Nos sociétés ont inventé le principe de la Sécurité Sociale, elles ont admis
l’organisation syndicale, elles ont découvert de riches formules associatives. Pourquoi
n’inventeraient-elles pas une nouvelle façon de faire vivre la différence, dans la clarté de son
être et de son paraître, sans le soumettre, sans se démettre ?
Philippe CONSOLINO est sociologue et chercheur au GRES. Il enseigne à l’ Université des
Sciences Sociales de Toulouse où il est Responsable du « certificat Consultant en insertion
dans le domaine du handicap ».
Auteur notamment de nombreux articles dans des revues références et à comité de lecture,
il a participé à la publication de deux ouvrages collectifs :
– Sous la direction de ROGGERO P., Anthropolitique et gouvernance des systèmes complexes
territoriaux, CONSOLINO P., « De l’observation à l’ « observ-action » : petite histoire d’un projet
de connaissance sur la question du tourisme des personnes à mobilité réduite », actes du
colloque, Presse Universitaires des Sciences Sociales, Toulouse, janvier 2005, p. 242 à 252.
– Sous la direction de J-P. POULAIN., (dir.) Le périurbain : une zone touristique d’avenir, – – –
CONSOLINO P., « Les enjeux de l’accessibilité du tourisme péri-urbain aux PMR comme
vecteur diminuant les inégalités et favorisant une politique de civilisation. Etudes et
applications dans le département du Tarn. », Toulouse, PMU, 2005.
Philippe CONSOLINO est Consultant Partenaire du Cabinet de Conseil en Ressources
Humaines ADHERE RH.
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